En prison pour le futur seigneur des pirates !

Invité

Une semaine, ça fessait une longue et pénible semaine que l’éventail et Christina étaient enfermés dans la même cellule, un endroit sec, en pierre taillée. Une seule fenêtre donnait sur l’extérieur et elle n’était vraiment pas grande à peine de la place pour deux crane placer l’un à coter de l’autre. Ensuite comme seul mobilier, ils disposaient de deux lits qui en fait n’était que des planches de bois avec un peu de paille retenues par deux chaines.

La femme n’avait jamais pleuré depuis son arrivée, elle passait tout son temps à méditer sur sa planche de bois. L’homme lui n’avait jamais parlé depuis son arrivée, il passait tout son temps à s’entrainer avec les pieds sur sa planche de bois. La tension entre les deux s’avérait quasi nulle. Les gardiens avaient même parié sur le pourquoi de leurs ignorances mutuelles, de vrais idiots.

Christina se sentais démolie, elle avais perdu le bien le plus précieux à ses yeux et puis son mystérieux sauveur, l’homme qui l’avais ébloui avec ses belles paroles n’était rien de plus qu’un incompétent, il passait ses journées à faire des aller-retour de bas en haut sur ses bras et tout en émettant de petits halètements de souffrance, enfin elle pouvait lui accorder une chose, il avait de la volonté. Elle s’était aussi sentie trahi, car probablement que c’était la honte qui l’avait rendu lui, au silence. Elle décida donc après cette semaine passée avec lui de lui parler, non pas pour combler le vide qu’elle ressentait, mais bien pour savoir pourquoi il n’abandonnait pas, pourquoi il ne s’avouait pas encore vaincu?

- Arête, ça ne sert, à rien… Même avec tes exercices en plus tu comptes faire quoi? Démonter cette porte avec ta seule force ?

Il ne répondit pas tout de suite, il finissait de compter dans sa tête… Il fit trois tractions de plus et hop mille pille! S’assoyant et fixant le vide, toujours dos à elle il lui répondit avec un ton neutre et serin.

- La démonter, non avec ses chaines je n’ai plus aucun pouvoir, mes si je deviens plus fort, je n’échouerais plus!

- De quoi parle-tu, qu’à tu échouer à part t’enfuir comme un minable?

- Je n’ai jamais tenté de fuir, la première fois je suis parti pour les éloigner de toi et je suis revenu te chercher. La ou j’ai échoué c’est en premiers lieux envers toi, je n’ai pas réussi à te protéger, ensuite j’étais trop faible donc incapable de vaincre autant d’hommes expérimenter seul. Je recruterai d’autres hommes une fois sortis! Comme ça en équipe, nous serons plus forts.

- Je m’excuse, je n’avais pas vu les choses de ce point, mais de toute façon, nous ne sortirons pas si tôt…

- Te souviens-tu de ce que tu m’as dit dans la forêt?

- Euh oui à peu près… de quelle partie parles-tu?

- Tu as dit : j’aimerais savoir ce que je pourrais faire pour vous remercier. Bien sûr je ne veux pas que tu te méprennes sur mes intentions…

Elle se demandait bien à quoi il pouvait penser et ne pouvais qu’espérer qu’il ne lui demande rien de dégradant ou de déplacer… puis il se retourna vers elle avec un sourire fendu jusqu’aux oreilles, comme si c’était le plus beau jour de sa vie, comme s’il était encore un homme libre.

- Fais-moi confiance et suis-moi à travers le monde! Je deviendrai le seigneur des pirates et je réaliserai tous mes rêves ainsi que ceux de mon équipage, en commençant par te rendre ton bien, je sais qu’elle est cassée, mais j’ai souvenir d’un maitre forgeron exceptionnel!

Sans vraiment attendre de réponses il retourna sur ça propre planche de bois et regarda la femme puis ajouta.

- Je suis un pirate, et je le resterai toute ma vie, mais toi tu es encore libre de choisir et je t’offre de rester avec moi, ensemble nous nous hisserons au sommet.

L’émotion emplie la jeune femme, cette inconnue n’avait pas abandonné alors qu’elle se résignait déjà, mais il avait raison, un espoir résidait encore! Son sabre pouvait encore être reforgé! Et elle sans vraiment l’avouer mourrait d’envie d’une aventure. Elle se promit donc à elle-même que si par miracle ils sortaient, oui elle le suivrait! Mais pour l’instant elle lui sauta dans les bras et l’embrassa sur la bouche folle de joie qu’il ait pensé à elle. Bien sûr il ne la repoussa pas et même s’il était agréablement surpris, il la prit dans ses bras et donna suite à ce baiser avec un autre encore plus flamboyant.

[Le jour suivant]

Un Homme arriva devant la cellule, il sortit un trousseau de clé de sa poche et demanda à l’éventail de se lever.

- J’ai fait quelque chose de mal capitaine?

- non, je suis ici après rapport Caporal Pili, elle a mentionné que vous pourriez encore avoir des balles dans votre corps et je suis docteur à temps partiel…

- À oui ses saloperies, elle me gratte, en fait je suis un homme Phénix et ma peau à guéri par dessus!

- Vous, vous foutez de moi?

- Non, parole de pirate!

- J’aimerais bien voir ça alors…

- Ne peux pas voyer vous, c’est du granit marin! Dit-il en montrant ses poignets à l’officier de la marine.

- Je suis aussi scientifique, en fait ça reste ma première fonction et j’aimerais vraiment voir vos capacités quel dommage.

- Ben alors, lancez-moi la clé, je vous promets de remettre mes menottes après la démonstration, parole de pirate!

- Mmm, il est vrai que cette proposition est alléchante, mais que vaut une parole de pirate?

- Rien de plus que celle d’un marine non?

- Vous n’avez pas tord… je vous donne la clé, mais attention, j’ai un pistolet avec des balles en granit marin et un avec des balles normales tenez et ne tenter rien.

- Merci! ça va faire du bien de me dégourdir les ailes.

Aussitôt les clés lancées il enleva ses menottes, il huma l’air comme s’il n’était plus dans sa prison et tout en relançant les clés en dehors de la cellule il transforma pour son spectateur l’un des ses bras en aile de feu bleu.

- Magnifique, vraiment magnifique! et pour votre pouvoir curatif? Est-il réel?

- Oui, ça dépend avec quoi, mais prenez par exemple votre pistolet normal et tirer sur moi!

- À que d’honneur! Alors j’essaie, mais après les menottes!

BANG. La peau du prisonnier se déforma pour que de minuscules flammes bleues viennent refermer la plaie, la belle elle fini contre le mur de la cellule. Ensuite voyant que l’officier lui fessait signe il replaça lui même les liens, mais sur ses pieds cette fois.

- Vous êtes un réel homme d’honneur. Je le reconnais bien.

- Et vous un réel menteur, je sais bien que votre pistolet n’est pas rempli de balle en granit marin.

- Comment?!

- Logique, pourquoi trainer ça, alors que vous avez des menottes à la ceinture…

- Bon et bien alors pourquoi ne pas vous être enfui, je suis sur qu’en phénix les chances aurais été de votre coté non?

- Oui probablement, mais voyer vous, j’ai donné ma parole de pirate.

- Je vous aime bien, bon venez je vais vous enlever ses balles de votre dos.

Il amena donc l’éventail dans la partie médicale du QG, c’était là qu’il lui enlèverait ses munitions logées sous sa peau.

Invité

[ la chirurgie ]

Une fois arriver dans la section médicale du QG, l’homme attachât le prisonnier en prenant bien soin de ne prendre aucun risque, et puis deux gros gorilles se tenait devant la seule sortie. Le tout dura une heure tout au plus, il lui avait tout retiré et s’assurant que son patient soit encore sous l’effet de la drogue qui endormait les hommes de classe moyenne, il lui retira ses poids en granit marin pour accélérer la guérison, ça ne pris qu’une seconde et il lui remit ses menottes aux jambes.

Le marine décida donc de faire un petit test sur le patient, bien sûr personne n’était au courant et ça devait rester secret. Il pourrait être sévèrement puni pour cela, mais bon le risque en valait la peine ! L’un des gros gorilles se tenait prêt à toucher sa peau d’une pierre en granit marin tandis que le docteur prenait une seringue, il voulait savoir si la capacité curative du phénix était réelle, car petit il avait entendue une légende racontant que leurs larmes étaient l’égal d’un élixir de jouvence ! Il ne put prendre qu’une larme par œil, donc deux goute, il en garderait une pour l’analyse et l’autre il voulait la tester maintenant. Il se leva et rejoignit le deuxième gorille, il regarda hâtivement la seringue dans sa main et sa main droite, dont l’index te releva pour laisser apparaître un scalpel de docteur. Il planta l’objet chirurgical dans la poitrine de l’homme et sans qu’il ne bronche fit une petite incision longue de deux centimètres et profonde de trois centimètres. L’homme émit un petit grognement et il versa l’une des gouttes sur la plaie. Réaction instantanée ! Il s’écrit a de joie voyant la plaie se refermer sous ses yeux !

Le docteur disparut à la vitesse de l’éclair avec son produit, ne laissant derrière lui qu’un seul ordre, celui de le remettre en cellule ! Lui il devait faire un rapport à Pili Pili.

Une fois sortie de la salle, il pris un escargophone et composa le numéraux de son supérieur.

Belup belup… belup belup…

- aller décroche merde, c’est la découverte du siècle !

Invité

-allo ? Pili ?
-pourquoi tu me déranges Aron j'allais me baigner
-ya quelqu'un au bout du denden mushi? … Répond merde !
-je t'ai répondu trou du cul
-à je t'entends c'est bon !
-TU VEUX QUOI FAIT VITE
-oui enfin désolé pour la baignade ! J’ai fait une découverte inimaginable ! tu sais le gars que ta ramener l'autre fois ?
-oisillon étincelant? Lequel ?!
-ouais ! Lui, ben il pleure des larmes curatives !
-eh bah ?
-ses son fruit merde ! Tu ne comprends pas ! On pourrait l'exploiter !
-quel genre de fruit ?
-un fruit du démon !
-c'est quoi ces conneries tu continues le crack ?
-Ça donne des pouvoirs inimaginables, lui il peut se transformer en phénix ! Non j'ai arrêté ! Tu à bien du t'en rendre compte en te battant contre lui ?
-bon OK je vais t'envoyer un vrai docteur il va te faire une petite analyse là ça va vraiment pas mon pote
-mais non laisse moi sur le coup ! Je te dis ses larmes on soigner une blessure ouverte ! Aller Pili avec ton aide je pourrais devenir un vrai scientifique !
-y'a des témoins à part ton éléphant rose? Comment il va d'ailleurs lui ?
-merde enfoirée écoute moi ! C’est vrai !
-je déconne ça va tu me connais oui j'ai vu qu'il avait des pouvoirs et donc ça vient de ce fruit?
-Oui, un fruit du démon
-je ne connais pas c'est nouveau ?
-attention tu pourras toujours en rencontrer d'autre et les menottes sont la seule chose qui les arêtes ! Donc tu va me référer ? Comme ça j'aurais peut-être un budget plus grand pour exploiter ses larmes !
— je ne sais pas il pourrait être utile si tu dis vrai
-je dis vrai je suis sevré ! Tu ne me crois toujours pas ?
-j'ai du mal à te croire, ramène-moi un échantillon et on verra ce que je peux faire, si ton projet c'est des conneries je risque ma place
—, mais non il me sufi que d'un appel de ta pare et je pourrais l'exploiter ici en labo ! Laisse moi au moins finir ici
-si tu veux mon appui arrête de discuter et bouge ta carcasse de fer jusqu'à moi, je serais dans la baie devant le QG
-OK je pars tout de suite avec un échantillon je ferme !
-gatcha
-gatcha

Invité

Après avoir raccrocher, Aron signala un nouveau numéro, celui de la salle ou l’éventail était encore supposer être, se fut l’un des gorilles qui répondit.

- C’est Aron, YA des problèmes ?
- Non-boss.
- Changement de programme, embarquer le dans la cage roulante et emmener le prisonnier devant le QG, nous allons faire un tour à la plage.
- Je suis réjoui boss.
- Vous avez cinq minutes et il doit rester menotter
- Oui boss
- Gatcha
- Gatcha

Il avait raccroché sans attendre son reste, il savait que ses deux gorilles lui obéissaient au doigt et à l’œil et lui devait aller chercher quelques affaires dans son bureau.

[ La plage ]

Aron était déjà présent quand les deux hommes arrivaient avec la charrette et l’imposante cage aux barreaux en granit marin dernier crie. Il s’était permis de s’asseoir sur une grosse roche, car le sable ne lui allait pas à ravir, son corps de cyborg était pratique pour tout, mais il pouvait aussi être une vraie plaie avec ses petites particules miniatures, vivement le retour dans un labo pensait-il. La femme poisson n’était pas encore la, par contre sa veste de gradé et un pistolet reposaient près d’une serviette et d’une ombrelle, elle devait surement être sous l’eau à jouer avec ses amis aquatiques.

- Placer le ici, je veux rester le plus loin du sable tout en restant raisonnable je vous prie.
- Oui boss.

Les deux hommes arrêtaient la structure et s’assurèrent qu’elle ne pourrait plus bouger en verrouillant les quatre roues, puis ils se positionnaient à deux points stratégiques sachant que leur aide ne serait nécessaire qu’au retour au QG. L’un d’eux était spécialiste au combat rapprocher et en arme blanche alors que l’autre était spécialiste coté réflexe et tout se qui peut propulser une balle, d’ailleurs se dernier tenait fermement le dernier modèle de fusil long avec lunette de précision doublée et chargeur double à vingt-quatre balles.

Aron se précipita sur la cage pour expliquer à son détenu la situation, il se sentait mal de l’utiliser en plus d’avoir eu un fou rire avec lui pour la première fois depuis son Transfer au QG, mais bon le boulot c’était le boulot.

- Nous allons rencontrer la femme qui vous a enfermé, j’espère que ça ne vous dérange pas trop.
- Aaaaaa celle la, il fallait bien que je la revoie ! elle ne me dérange pas trop, mis à part son haleine de morue…
- Parfait, je veux lui prouver que vos pouvoirs pourraient nous être utiles !
- Ben désolé de te décevoir, mais je n’ai jamais pleuré plus d’une larme l’oeil par jour depuis que j’ai se pouvoir, et j’en ai vécu des choses héhéhées.
- Quoi ?! donc il n’y a aucune chance ?!
- Non aucune, mais il doit bien vous rester l’autre non ?
- Si, mais je comptais l’utiliser pour l’analyse !
- Dommage pour l’analyse alors…

Aron commença les cent pas, comment annoncer à la femme poisson qu’il n’avait plus de preuve avant le lendemain ? Elle ne voudrait certainement pas le voir ni le croire ! C’était foutu, en plus de cela, il avait bien déposé la seringue pleine dans un coffre en bois et l’avais échangé contre une neuve pour la cueillette… Bon il se ressaisie et retourna en direction du prisonnier, qui lui franchement vivais la belle vie étendue de tout son long bras accoter contre ça tête et regard perdu.

-tien enlève tes menottes au pied et donne-moi-les, on va quand même essayer de sauver mon travail !

Il s’exécuta et retourna les menottes tout en dissimulant la clé dans l’une de ses chaussettes, bien sûr l’homme trop inquiet n’y vu que du feu. De nouveau sans lien, il transforma ses bras en ailles de flamme pour se rendre compte que les barreaux de la cage étaient en fait le même fâcheux matériau… dommage pensât-il. Puis il aperçut la tête de la femme poisson sortant de l’eau, leur rencontre était sur le point d’arriver.

Sergent-Chef

J'émergeais de la crique d'eau turquoise, elle était à température idéale et je me sentais à l'aise dedans et cette chaleur lui donnait cette fameuse teinte d'un bleu vert si attrayant.

Seulement, mon bonheur se stoppa net en revoyant la gueule du pigeon dans sa cage. D'ici, je pouvais voir les trois poils qu'il avait sur le menton et le petit sourire narquois et relax qu'il m'avait déjà affiché quelques jours plus tôt. Je ne sortis que les yeux de l'eau finalement , j’expirai sous l'eau et cela se voyait par les quelques bulles qui remontaient à la surface.

Finalement, je sortis complètement de l'eau et je fis quelques mouvements pour balancer mes tentacules frontales de manière assez séduisante.

Je prenais la direction de la cage mais je marchais lentement et le niveau de l'eau diminué, je ne sortirais pas de l'eau rapidement par précaution. Ce que je vis me choqua, pourquoi il à pas de menottes le moineau ?!

- POURQUOI IL A PAS DE MENOTTES LUI SALE CON VA TU L'AS LAISSE SE DÉTACHER T'ES TARER OU QUOI S'IL S’ÉCHAPPE JE T'ENVERRAI LE CHERCHER LES DEUX PIEDS DANS LE BÉTON COMME PUNITION !!!!!!!!!!!!!!

Je m'énervais contre le pauvre imbécile heureux d'Aron qui d'ailleurs avait l'air d'avoir un pet de travers, sûrement le stress de venir à ma rencontre pour une fameuse découverte extraordinaire disait-il.

Par précaution, j’exerçai la technique que je venais à peine d'inventer sur le fameux pirate. Avec mon pied, je secouais le peu d'eau qu'il me restait en face et une mini vague d'un mètre environ s'abattit sur la cage qui le retenait prisonnier. Comme ça, s'il est trempé et dans le GM il aura aucune chance de s'enfuir. Je marchais enfin sur le sable et j'étais de plus en plus près de la cage.

Enfin, je cria à l'autre gugus au loin.

- Go dans t'as 5minutes pour m'expliquer pourquoi t'es si loin et pourquoi tu es venu ici et aussi POURQUOI IL A PAS SES MENOTTES AUX POIGNÉES, si c'est pas intéressant je fais un rapport sur toi pour mythomanies et trafic d'héroïne dans le Q.G.

Invité

- POURQUOI IL A PAS DE MENOTTES LUI SALE CON VA TU L'AS LAISSE SE DÉTACHER T'ES TARER OU QUOI S'IL S’ÉCHAPPE JE T'ENVERRAI LE CHERCHER LES DEUX PIEDS DANS LE BÉTON COMME PUNITION !!!!!!!!!!!!!!

Puis après avoir prononcé ses quelque mot plein de hargne elle envoya une minuscule vague d’environ un mètre, efficace de proche, mais avec la distance entre eux, Alexander ne fut qu’éclabousser, rien de grave ni d’alarmant.

- Go dans t'as 5minutes pour m'expliquer pourquoi t'es si loin et pourquoi tu es venu ici et aussi POURQUOI IL A PAS SES MENOTTES AUX POIGNÉES, si c'est pas intéressant je fais un rapport sur toi pour mythomanies et trafic d'héroïne dans le Q.G.

Puis encore une fois des mots hargneux, pauvre gars, il ne tiendrait pas longtemps, après tout même les deux gorilles semblaient ne pas aimer la femme poisson. L’éventail toujours dans sa pose de détente ou de top modèle décida de s’en mêler et de prendre la défense de l’homme qui jusque-là avait été si gentil avec lui.

- Laisse-le tranquillos, patate de mer. (Petit rire discret venant des deux gardes) le pauvre s’est tout arrangé pour te faire plaisir et toi tu ne penses qu’à teindre tes cheveux. (Autre petit rire) À c’est vraie ta pas un poil sur le caillou !

Aussitôt qu’il eut fini de se moquer de la femme, Aron s’élança vers elle pour la calmer, après tout son poste était en jeux ! Puis prenant un air de chien battu, il engagea une petite réponse en visualisant déjà la réponse de son supérieur.

- Ne l’écoutez pas, il doit être sous l’effet d’une drogue !
- Nan pas vrai, tu ne mas rien donner doc ! tu te souviens on à que marcher et après tu ma dit de ne pas lui dire pour les menottes ! tu te souviens ?
- Encore une fois n’écouter rien, j'ai enlevé les menottes pour pouvoir faire la démonstration !

Ensuite il repartit en direction de la cage, tout en s’empressent de chercher la bonne clé dans son trousseau.

Sergent-Chef

Décidément, ce pigeon était agaçant, il pensait arriver à me déstabiliser en utilisant un brin d'humour.

Puis je vis Aron qui s’apprêtait à ouvrir la cage de Granit Marin, je sursauta et dans mon élan, je donna un énorme coup de pieds à cet imbécile, ce qui le fit voltiger une dizaine de mètre en l'air sur le côté.

- T'es taré ou quoi ?! Je vais pas pêcher les pirates pour que tu les libère, donne moi ton trousseau je veux toute les clefs que tu as utiliser pour ce type.

Aron se releva avec beaucoup de difficulté, le sable s'était incrusté dans ses circuits et cela faisait grincer ses articulations.

- Je te payerais une remise à neuf si ton expérience est vraie en attendant tu ne me montreras les pouvoirs de cet homme que par ses larmes c'est clair ?!

Aron hocha de la tête, je l'apeurais déjà qu'il était craintif de nature, on dirait aussi que les deux gorilles qui surveillait la cage s'était calmé en voyant ma puissance, une bonne chose pour eux car je n'aime pas qu'on se moque de moi dans mon dos, j'aurais même pu faire un rapport sur ces deux là pour prendre parti du pirate, après tout j'étais leurs supérieur, j'en avais le droit.

Enfin Aron revint vers nous, il me donna le trousseau et je lui demandais lesquelles étaient utiles parmi ces centaines de clefs. Il m'en désigna une et chercha la deuxième, apparemment celle des menottes. Il ne la trouvait pas et mes nerfs commençait à surchauffer.

Je dis en grinçant des dents :

- Dis moi, tu ne lui as pas donné la clef pour qu'il s'enlève lui même ses menottes hein ?

Aron transpira de véritable torrent de sueur, c'était mauvais pour ses circuits qui commençait à crépiter.

- C'est bon arrête de chercher tu sais toi comme moi que t'as fais une erreur. Je vais être clémente et pas faire de rapport sur ce malheureux "incident" qui te couterait ta place. Je pense que ça ferait trop plaisir à cet enfoiré de pirate que tu te fasse virer pour rien et j'aime pas faire plaisir aux trou du cul qui font les machos en laissant leurs 3 poils sur leurs mentons.

Aron, stupéfié, ne savait pas quoi répondre, assurément surprit du revirement d'attitude de la Caporale.

Enfin Pili s'approcha de la cage et afficha un sourire diabolique et supérieur à ce chien de la piraterie.

[hrp]

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pour ma couleur, le cyan est illisible ^^ [hrp]

Invité

Aron n’en croyait pas ses oreilles, bien qu’elle soit sa supérieure elle ne connaissait pas tout de lui et la situation n’était pas à son avantage. Elle avait réellement dépassé les bornes et il s’y attendait. Les deux hommes qu’il accompagnait le scientifique n’était nul autre que de haut garde du corps super entrainé, il s’empressa de murmurer dans son écouteur à l’insu de la marine bleutée. Les ordres étaient clairs ils savaient quand intervenir, car notre heureux scientifique en avait plus qu’assez de se faire marcher sur les pieds.

- Tu sais quoi Pili, je t’ai jamais aimé, tes chiantes et tu crois pouvoir contrôler tout le monde, c’est fini j’en tolèrerai pas plus et toi t’en penses quoi t’aimes ta cage ?

L’éventail se releva, ignorant totalement la femme, il avait vu clair au jeu du cyborg et les choses allaient remuer…

- Non j’aimerais mieux une déco plus libre disons et toi je crois bien que t’es comme moi, les cages ce n’est vraiment pas pour nous mon gars.
- Go.

Aussitôt prononcer, le plus loin des gorilles firent vibrer son canon, celui d’une arme magnifiquement bien conçue, il actionna la gâchette en regardant par sa lunette d’approche et fit exploser le verrou de la cage. Le prisonnier en profita et d’un coup prodigieux sorti de la cage pour aller se placer près d’Aron

- Mes hommes sont des gars super entrainés, l’un est expert en combat rapprocher et l’autre à distance, si j’étais toi je ne broncherais pas femme poisson, car leur ordre sont simple, si les choses venaient à chier comme la, je m’enfuirais avec lui et continuerais mes recherches à compte personnel.

Aron soudainement plus sur de lui replaça ses lunettes avec le bout de son index puis pointa les deux gorilles, l’un était réellement trop loin et visait Pili de son arme et l’autre se tenait de toute sa masse juste derrière la gradée.

- Alors la femme de loi, cette fois si c’est toi qui se fais avoir comme un rat, tu prends le risque de me courir après ou tu veux t’engager dans un combat perdu d’avance ?

Sergent-Chef

J'étais en bien mauvaise posture. En face de ces 3 traitres et d'un débile de la nature, je ne pouvais pas grand chose malgré ma force herculéenne, à 4 contre 1 je ne ferais pas le poids.

Je devais encore avoir recours à ma tête et franchement, j'avais pas tellement d'idée sur le coup. Mais le miracle que j'attendais fit son apparition, un signe de mon ami, sniper de profession et cette même personne qui avait sauvé la situation lors de l'arrestation du piailleur. Au loin dans l'un des deux miradors du Q.G qui me faisait face, j’aperçus une sorte de signal lumineux, fais sûrement avec des verres de lunettes ou autre objet brillant. Lors de ma formation, nous avions appris le langage morse et même si je n'étais pas la plus douée dans cette matière, j'en avais retenu quelque brèves bien utile, je décrypta le message : "Je suis là, go" voici les seuls mots que je compris de la phrase lumineuse.

Je savais que c'était mon ami car lui seul à le droit de ne pas m’appeler par mon titre de Caporale et je connaissais le signal lumineux pour ce titre là.

Donc maintenant je savais que j'avais du soutien, j’espérai qu'il ne serait pas seul et qu'il m'enverrait du renfort.

Puis, sans plus attendre, une dizaine de seconde s'était écroulées depuis ma discussion et je n'avais plus le temps de réfléchir.

Tout à coup, je fis un signe de la main discret, sans relever mon bras. Je levais mes deux doigts les plus longs qui était une passe pour que le sniper vise les deux gorille. Très vite, j'entendis les coups de feux que j'attendais, alala toujours à l'heure ce type, il ne perd pas une seule seconde. Seulement un autre sniper s'était mêlé à l'assaut, sûrement un sniper hors pair car il avait touché la tête mais la balle sortit directement entre les deux yeux.

Seulement, un troisième coup de feu se fit entendre, plus sec plus violent, comme une balle ejecté par de l'air comprimé mais c'était bien de la poudre vu la vitesse du coup. Je n'eus pas le temps de voir si le pirate avait esquiver ce coup car j'étais déjà dans mon élan pour la suite des évènements. Malgré tout, dans un coin de ma tête, j'imaginais que cette balle serait sûrement du même matériaux qui annule les pouvoirs des utilisateurs de fruits du démon, du grand art les gars je vous récompenserait.

Je n'attendis pas un instant de plus pour me ruer sur ce scientifique verreux qui avait osé me trahir, mais je ne l’attrapa pas, j'avais sauté en l'air et profité sûrement de la stupeur des coups de feu qu'avait eu le pigeon pour asséner un coup phénoménal sur le haut du crâne du docteur, qui n'avait pas pu esquiver à cause du sable qui bloquer ses articulations.

J'enfonçais ce tas de ferraille sous le sable sans lui laisser une quelconque chance de se déloger avec ses bras, il était enfouie et avait intérêt à retenir sa respiration s'il voulait espérer survivre avec ce combat.

Toujours en l'air, j’affichai une mine radieuse et réjouie, fixant le pirate.

[hrp] la dernière fois que j'accepte ce genre de chose, prochain coup j'arrête le RP jusqu'à que tu modifie [hrp]

Invité

Tout se passait très vite, Aron fut enfoui sous le sable et le gorille le plus près, celui qui venait de se prendre une balle dans le bras gauche courait pour le sortir de la, quant à l’autre il devait se disputer un sacré duel de sniper avec ceux qui comme des rats c’était cacher au loin, pour sa part Ox ne fut même pas égratigné, mais quand il vit le regard narquois de la femme poisson, il devint fou de rage, il aurait préféré sortir le Scientifique lui-même du sable, mais voyant que la situation était sous contrôle il bondit telle une fusé, enflammant ses ailes de phénix, sa destination était simple, encore au vol il se saisit de la femme poisson avec ses jambes maintenant transformer en serre acérée et décolla en direction des nuages à une vitesse incroyable.

Ça ne luit pris qu’une minute pour atteindre une altitude mortelle pour la femme poisson, heureusement qu’il n’avait plus de menotte en granit marin, car sinon s’en aurais été finie de lui et pour couronner le tout, elle ne semblait pas en avoir non plus.

- Alors ta voulu te la jouer en héros, malheureusement pour toi tu te retrouves dans une situation bien dangereuse, dit clairement à tes hommes d’arrêter les tirs et de laisser se replier Aron et les deux mercenaires, je sais que tu dois avoir un micro cacher sur toi.

Alexander était sérieux, il n’hésiterait pas à laisser retomber la pauvre femme sur le sol qui maintenant était très éloigné. Avant qu’elle ne réponde, il put apercevoir que Aron venait d’émerger du sable et assister à la mort du spécialiste en combat rapprocher, le pauvre avait eu la cervelle rependue sur le sol alors qu’il venait à peine d’en sortir son employeur. Quant à l’autre il s’était accroupi et semblais protéger par des obstacles naturels.

- que choisis-tu ?

Sergent-Chef

J'étais pris dans les serres de ce trou du cul. Tandis qu'il montait haut dans le ciel, moi qui avais le vertige et qui préféré l'eau plutôt que l'air j'avais du mal à réfléchir encore à un plan. Arrivé en haut :

- Alors ta voulu te la jouer en héros, malheureusement pour toi tu te retrouves dans une situation bien dangereuse, dit clairement à tes hommes d’arrêter les tirs et de laisser se replier Aron et les deux mercenaires, je sais que tu dois avoir un micro cacher sur toi. Que choisis-tu ?

- Je ne suis pas une traitre j'aide pas les pirates comme l'autre traitre que tu veux sûrement enrôler dans ton camp.

Puis je cria à mon denden mushis : - ABATTEZ LE GROS LARD ET CAPTUREZ LE TAS DE FERRAILLE , je vous promets que je m'occuperais moi même de sa punition une fois que je serais sur terre...

Enfin, j'entendis via mon denden mushis les renforts, tout l'effectif de marine du Q.G avait rejoins la crique et avait encerclé les traitres, le gros monsieur avait tenté une manœuvre désespéré pour repousser les marines qui s'approchait trop près de lui et fut abattus d'une centaine de balle, sans réussir à sauver celui qui l'avait recruté.

- C'est bien t'as eu de la chance de tomber sur lui, mais t'en auras pas deux parce que quand je t'aurais recapturé, je te promet que tu seras enchainé avec ce fameux GM et isolé sans que tu ne voie personne et avec pour seul interlocuteur moi via un dendenmushi.

Puis, je me débattis si violemment, en mordant et tordant les serres que je réussis à me dégager et je commença ma chute, les renforts avait été avertis des évènements et avait ramener une grande toile de coutchouc pour amortir ma chute, mais je savais que j'en mourrais pas, car j'avais déjà survécu à un choc bien plus violent que celui qui m'attendait des années plus tôt, ce qui m'avait conférée mon amnésie. Je me m'y donc à la verticale, tête en bas, attendant le choc qui allait sûrement me secoué mais je ne risquais rien ça c'est sûr. Je me tenais tout de même en garde au cas où il s'approcherait, mon corps serait prêt à réagir à tout moment.

Invité

Voyant la situation désespérer prendre forme, il décida que se serais plus judicieux de revenir plus tard secourir ses deux nouveaux amis, néanmoins, il roderait tout autour du QG de façon discrète pour surveiller. Mais aujourd’hui il recouvrait sa liberté et n’allais pas la perdre bêtement, la femme bien que sa tête soie dure se casserait probablement le coup et tout le reste des os possibles avec cette altitude, mais bon elle avait fait son choix et lui le sien. Il deviendrait le seigneur des pirates et ça ne se ferait pas en cliquant des doigts et encore moins sans sacrifice.

Sergent-Chef

J'atteignis ma vitesse maximale en peu de temps selon les lois de la physique, cependant ce que mon corps ne respectait pas dans ces lois c'était sa résistance, en effet comme dans mon histoire, il paraitrait que lors d'un combat je subis le choc d'une pareille situation, la puissance d'un séisme de magnitude 7, de quoi ouvrir des crevasses gigantesque dans une villes, j'y survécus, au prix de ma mémoire. Je savais que ce choc ne dépasserais pas un séisme de magnitude 4 que je me prendrais dans la tête, heureusement que la vitesse de chute n'augmente plus après une certaine distance sinon j'étais morte.

Enfin, je percuta le sol sablé, je traversa la toile de caoutchouc sans quelle m'amortisse plus que ça. J'avais pris mon souffle juste avant, ce n'était pas pour rien. Je m'enfonça dans le sable à plusieurs dizaine de mètre de profondeur. Ma chute s'arrêta enfin, je n'avais sentit qu'une grosse vibration dans mon crâne, j'étais un peu déstabilisé dans mon antre sableuse.

Les secondes passaient et je me disais que je n'avais qu'à attendre que l'on vienne me dégager. Mais je n'entendais rien, absolument rien, le vide total, même pas un coup de pelle. Je devais être bien enterré dis donc.

Les secondes défilaient et je perdais espoir. Je me disais que le pirate avait gagné et que pour une fois j'avais perdu.

Soudain, pendant que je sentais mon souffle diminuait, ma conscience partir, je me m'y à me souvenir ma vie passée, des petits morceau. Je me revoyais combattre des personnes que je n'avais jamais vu de ma vie, utiliser ce fameux karaté racial.

Et tout à coup, je me m'y instinctivement à déployé mes doigts qui avaient du mal à se mouvoir dans cet amas de sable, je sentais l'humidité de la profondeur. Je tendis mes mains vers vers le bas et je commença à exercé une force intérieure, sûrement ce fameux karaté. Je connaissais la technique, je l'avais déjà utilisée auparavant et mes souvenirs me venait en aide dans cette situation périlleuse.

Avec cette force, l'eau commença à s'accumuler autour de mes mains, toute l'humidité du sable se rassemblait pour former une bulle d'eau. En sentant cet élément qui m'est cher, je commença à me débattre vers le bas pour creuser plus profondément et rejoindre la bulle, elle n'était pas bien grosse mais il y avait assez pour immerger mon visage. Enfin je respira, une bulle de secours, je devais être très prévoyante autrefois.

Des heures passèrent pendant lesquelles je m'étais endormi. Puis, je sentis des bras agripper mes pieds et me hisser hors du sable. Mes hommes m'avaient retrouvés et sauvés, alors qu'ils pensaient retrouver un corps mort, il virent le corps toujours aussi splendide de la jeune demoiselle de la mer, quelques égratignures en plus.

J'étais faible, même si j'avais survécu, rester plusieurs heures enterrée vivante, ça laisse quelques séquelles et traumatisme, je crois d'ailleurs que j'aurais du mal à m'approcher du sable pendant quelques temps.

Mes hommes m'avaient allonger par terre après m'avoir remonter des... 15 mètre de sable dans lesquels j'étais enfouie, le chiffre fait peur, quand on pense que c'est la hauteur du mirador du Q.G et que je le voyais déjà gigantesque.

Enfin, on me transporta sur une civière pour me soigner au Q.G mais j’ordonnai aux hommes qui me portaient de me mettre dans la même salle que ce fameux Aron lors de mes soins et que celui-ci devrait être ligoté avec des chaines sur une chaise et menottés des pieds et des mains et porter aussi un bandeau et une pomme dans la bouche que s'il croquait, il perdrait quelques "pièce" de son corps mécanique. Les hommes terrorisé du ton que j'employais, ne pouvaient qu'acquiescer. Puis, je leurs souris comme une enfant et je m'endormis.

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