ÉVENT LA MORT DE OX [privé]

Pili avait subis des soins durant plusieurs heures pour la remettre sur pieds. Heureusement quelle n'avait subis que des dégâts mineur, rien qui dure pourrait on dire. Elle avait demandé à subir ces soins en présence du fameux Aron, dit le traitre de l'armée qui avait perdu sa place après le rapport que Pili avait fait parvenir à l'état major, signalant le fait que le traitre avait laissé s'échapper un dangereux pirate et avait causé de grave dommage à son supérieur.

Pili surveillait le scientifique d'un œil pendant ses soins, celui-ci était ligoté à une chaise et avait l'air d'avoir donné sa langue au chat.

Je commençais à réfléchir à la situation, j'avais compris qu'entre le fugitif et le scientifique, une sorte de lien s'était crée et je redouté qu'il ne vienne le chercher. Mais je repensais à sa jeune amie, qu'il avait laissé à l'abandon dans une cellule tandis que lui avait retrouvé sa liberté, je ne savais pas vraiment quoi penser, je n'arrivais pas à voir dans son jeu.

Enfin sur pieds le soir, je ne perdis pas de temps pour contacter moi même l'état major pour expliquer mon point de vue sur la situation. Ils comprirent tout de suite et accepta ma requête de renforcer les troupes au Q.G d'East Blue. On me promit deux bataillons de cinquante homme en plus des 300 autres déjà présent au Q.G, ainsi qu'un autre cuirassé en plus des 2 autres pour pouvoir former un triangle de sécurité autour de l'île. Des caisses de GM contenant des balles et des menottes ainsi que 80 matraques avec bout en GM pour la section anti-émeute. Je crois que ce qui me déplu le plus c'était le reproche que l'on m'a fait parce que j'ai laissé s'échapper un criminel et pour ça, on m'enverrait un Major d'un Q.G de Grand Line pour m'apprendre à mieux faire mon boulot. Je me retins lors de ma conversation mais de suite après avoir raccroché je me m'y à insulter cet enculé qui n'avait pas eu à bouger son cul de sa chaise pour arrêter ce pirate tandis que j'avais du affronter 4 hommes.

Retourner mon bureau ne me suffisait pas donc je m'en allas à la laverie pour jeter les caisses de linges sur le mur et retourner toutes les bassines, mais grâce à cette expérience, je m’aperçus de mon incontrôlable pouvoir sur l'eau, en effet, à chaque coup contre une goutte d'eau, une petite explosion comme un pétard se faisait entendre, ou le sifflement d'une balle de revolver qui traverse un mur ou bien encore ces colonnes d'eau qui se formaient quand je tapais du pieds par terre. Il s'avérait qu'à cause de mon amnésie, mes émotions rendaient incontrôlable ma maitrise de l'eau.

Partie 2 : Sans le vouloir, ma volonté jouait sur mes pouvoirs, lorsque je me sentais en colère, l'eau se déchainait mais lorsque je cherche à apprendre à maitriser mon pouvoir, un sentiment d'insatisfaction naissait en moi car je ne me souvenais de rien et ma maitrise de l'eau était nul. Pour le peu de techniques que je maitrisais déjà, je n'arrivais pas à la perfectionner ni à en inventer d'autres, je savais que je devrais être guider pour ré-apprendre ce fameux art.

Quoi qu'il en soit, je ressortis apaisée après avoir déchainait l'élément de l'eau dans cette pièce, c'était beaucoup mieux qu'un punching ball ou un entrainement contre mes hommes, je me défoulais beaucoup plus.

Je m'en alla vers l'adjudant de l'organisation du Q.G pour lui faire part des dernières nouvelles de l'état major et lui donner les instructions à suivre pour le plan Delta. Les trois cuirassés qu'il y aura seront disposés en triangle autour de l'île, à leurs bord des artilleurs sniper et des canonniers. Puis en octogone sur terre, seront disposé 8 bataillon anti émeute munis des matraques en GM et dissimulé dans chaque maison de l'île, deux hommes par battisse soit 200 hommes banalisés. Je resterais au Q.G avec le reste des hommes en plus de mon bataillon personnel. Je serais bien sûr accompagné de ce mystérieux enculé qui est censé me remplacer dans cette bataille, mais je prouverais à mes supérieurs que je suis LA meilleure !

Je pris aussi l'attention de demandé les services de deux chasseurs de primes pour cette mission, l'argent ne m'intéressait pas vraiment et il valait mieux faire attention, je ne pense pas que cet homme foncera deux fois tête baissée, il va sûrement revenir les bras bien chargés.

Enfin l'aurore, on avait pas chômé cette nuit là. Je retourna dans la salle où était détenu le traitre.

- Et bien on va enfin pouvoir discuter tout les deux.

Pour moi la discussion était deux tartes dans la gueule et des aveux, j’entamai donc la "discussion".

Le bateau leva l’ancre en direction du QG. Ô joie. Ô désespoir serai mieux dit. Vaan n’appréciait pas la marine, et leur prêter main forte lors d’une bataille où il pouvait perdre la vie à tout moment ne le rassurait guère. Mais plus que de perdre sa propre vie, c’est celle de ses amis qu’il ne voulait pas voir s’éteindre. Wes, le lieutenant du bateau... Doréème. Sur une expression du visage tournée vers la tristesse, il remarqua que la “face de cul“ avait disparut. Personne. Le soir arriva, porté par le vent, il escalada le post de vigie pour se retrouver assis à regarder les alentours. Rien. Une immensité telle que tout homme libre rêverai d’accéder. Un bruit silencieux prit place dans la magnificence du lieu, une ombre se glissa à ses côté, si souple et silencieuse que Vaan n’eu pas le temps de la voir s’asseoir à sa droite. Doréème.

-Alors Vaan, quelle est la suite du programme ? Dit-elle en souriant, sourire qui illumina manifestement cette nuit sombre et surtout, le visage du jeune homme.
-Je réfléchis.
-Doucement, c’est pas bon pour toi de trop réfléchir.
-Eh !!!! Eu réagit instinctivement Vaan à la boutade de Doréème.
-Bon alors, et pour la suite ?
-Ça va être un grand combat, je voudrais que tu reste en arrière...
-N’y compte pas.
-Et pourquoi ?
-De un, si je t’ai accompagné, c’est pas pour rester sur le bateau à attendre gentiment que tu reviennes. De deux, si je ne viens pas, tu vas revenir oui, mais dans un sac mortuaire. De trois, je ne vais pas te laisser tous ces pirates pour toi tout seul. Et de quatre... tu compte trop pour moi pour que je me sépare de toi alors que je viens de te retrouver.

Vaan regarda alors le ciel, toujours pensif après les dires de la jeune femme. Soudain, le silence se brisa.

-Peuleupeuleupeuleupeuleupeuleu... Peuleupeuleupeuleupeuleupeuleu... Peuleupeuleupeuleupeuleupeuleu...

Le den den mushi de Vaan sonna. D’un air plutôt contraint, il décrocha.

-Z’êtes le chasseur de prime que le gouvernement nous a recommandé ? Vaan c’est bien ça ? Nous avons des informations concernant Ox dit le Phoenix. Le silence des deux jeunes toujours présent mais ils se rapprochèrent pour mieux comprendre ce que leur disait l’escargot, dans un silence, il continua. Hier, un Navire-pirate s’est fait attaquer par une cinquantaine d’hommes répertoriés comme des brigands. La marine aurait retrouvée tous les hommes attachés à des barils aux beaux milieux de nulle part. Les rescapés ont dit avoir vue des créatures de légende les attaquer. Nous vous demandons votre aide, ainsi qu’au bateau de la marine sur lequel vous êtes posté. Il est fort probable que de prénommé Alexender, attaque demain, au levé du jour. Sur mon carnet de route, il est écrit que vous faites routes vers le QG à Logue Town. Il se pourrait que vu la distance à parcourir, vous arriverez demain à l’aube. Avec un peu de chance avant l’attaque prévu. Cependant, ce n’est pas encore sûr mais il se pourrait que ce ne soit qu’un leurre et qu’il ne se passe rien. Bonne chance à vous. CLOCK !

Le den den se rendormit et Vaan regarda Doréème, Doréème regarda Vaan et ils rigolèrent à n’en plus finir pendant un bout de temps.

Le matin à l’aube, le bateau arriva à bon port, rien ne s’était encore passé. Tous les hommes se préparèrent au cas où le combat aurait bien lieux. Une brume se figea. Des bateaux arrivèrent. D’abord deux puis cinq. Ensuite, une centaine. Vaan se concerta avec Doréème.

-C’est loin d’être la cinquantaine d’homme prévu, y a quelque chose de louche eurent-ils dit ensemble, ils continuèrent. C’est parti !!!

Je descendis du bateau tranquillement pour admirer les Blues. En marchant sur le port, j’aperçus un homme, un marine aux cheveux blancs et avec un kimono blanc aussi.

La seule chose que je vis de lui était ces yeux rouges sang, il était surement mieux de ne pas allez lui parler. De toute façon, l'homme ou l'enfant, car il était assez jeune à peu près de mon âge se disputaient avec un matelot.

J’écoutai un peu la conversation, car ils criaient. La seule chose que je distinguai était: vous... une semaine... avance et le jeune partit en direction de la plage. Étrange, pourquoi une semaine avance? Peu importe, mais je sentais l'intrigue monter en moi. Je partis donc en sa direction.

La vision était horrible, je découvris l'enfant sous son vrai jour: deux cornes en acier sur la tête, les yeux avec une lueur de flamme et de longues griffes. J’étais terrorisé, heureusement, il ne me vit pas.

Quelques minutes plus tard, le monstre était assis sur le sable à regarder au loin, mais sous sa forme humaine! Tout ça était des plus étrange et je sentis aussi qu'une force maléfique le hantait. Je me dis plus prudent de ne pas aller le voir et partis en direction de la colline pour admirer le pays.

Assis en hauteur, je voyais tout: le phare, le QG et même la plage. Je revis l'enfant debout, l'air surpris. Je regardai au loin, mais je ne vis ce qui le tracassait, juste un brouillard. En me concentrant encore plus, je découvris qu'il n'avait pas peur pour rien, des centaines de bateaux arrivaient vers le large.

J’étais heureux de venir sur les Blues, mais là, je n'aime pas vraiment ça.

La nuit fut longue, je l'avais passé à torturer ce pauvre Aron dit le traitre. Toute la nuit, le bruit d'une tôle sur laquelle on taperait au maillet retentissait dans les couloirs, ce mec était très résistant malgré son air d'intello. Je n'avais obtenu aucun aveux de sa part sur la raison de sa traitrise, redoutant sûrement ma vraie colère. Enfin, vers 4h du matin, je m'étais assoupie, fatigué de jouer au forgeron.

Je fus réveillé par des bruits sourds et des explosions, la parois du bâtiment dans laquelle je reposait était secouée, je redoutais le pire, il était évident que le pigeon de feu était de retour.

Je me leva et rapidement je sortis de la salle avec Aron sous le coude, j'eus de la chance car une bâtonnet de dynamite avait pénétré la chambre par la fenêtre et qu'il grésillait jusqu'à l'explosion, faisant s'écrouler la façade du bâtiment toute, entière. J'ouvris la porte derrière moi et couru en fracassant les murs qui me faisaient obstacle car le sol s'écroulaient sous nos pieds. Enfin j'étais en lieu sûr, la façade du bâtiment tombait en ruine et j'étais arrivé au centre, tout s'était stoppé.

Aron se mettait à ricané en disant : "Il m'aime bien on dirait, il est entrain de casser ta maison pour venir me chercher". L'air exaspéré, j’affichais ensuite un sourire narquois et lui dit :"Ah il t'aime hein, tu veux aller lui faire un bisous ?" Son rire se dégrada jusqu'à qu'une petite goutte de sueur venait faire grésiller ses circuits.

Je courru vers le centre de défense du Q.G, l'alarme retentissait et les hommes cavalaient vers l'endroit explosé. Heureusement que j'avais ordonné de maintenir leurs position le bataillon intérieur dans la cour du Q.G, là y siégeait une cinquantaine d'homme munis de machines de guerre. Des catapultes et des canons surtout mais aussi des minis bateau de combat munis d'un canon ou de tourelle automatique, un bateau simple, rapide et discret pour mener une attaque éclair. En tout le nombre de machines devait être de l'ordre d'une cinquantaine, environ 15 de chaque j'eus du mal à compter. Mon idée était de mettre en œuvre ma nouvelle technique, d'utiliser toute les machines en même temps pour crée un tsunami en y mêlant mon fishman karaté. Je ne savais pas si je réussirais à provoquer un tel phénomène mais l'aide des machines me seraient précieuse.

J'ordonna donc à tout les hommes présent de chargé les machines, même les bateau. Après 5 min et la participation de la totalité des hommes et moi même, les machines étaient opérationnelle, prête à faire feu sur la moitié de la mer qui entourait l'ile et moi, j'étais perché en haut du catapulte, munie de 5 boulet de canon que je tenais fermement. On me signala que les positions étaient réglaient et que les tirs étaient pointés vers le groupe de navire repéré et que la cible étaient une centaine de navire grosso modo. Je me dis "HEIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN", l'instant d'après j'entendis "3 2 1 FEU" et 50 bruit sourd se firent entendre, en plus de mon cri "J'AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII PAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAS DIIIIIIIIIIIIIIIIIS FEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU", qui s'estompaient aux oreilles de mes hommes.

Je voyais mon objectif s'approcher, l'étendue bleutée et le brouillard qui la recouvrait. Le choc était imminent et je me concentrais sur mon pouvoir, j'allais provoqué un véritable tsunami et tenter de couler tout les bateau en même temps, il ne resterait plus qu'à m'occuper des gars sur terre.

En fait, il y eu un drôle de phénomène, pendant ma trajectoire, j'avais percuté quelque chose comme une masse d'air bleue, en fait j'avais les yeux fermé faut pas croire ça à l'air rigolo mais ça fait peur ce petit jeu ! J'apprendrais plus tard par mes hommes que j'avais percuté le phoenix lui même et que je l'avais désintégré en plein vol. Mais la vérité était loin d'être ça.

Bref cette petite aparté, j'allais entré en contact avec l'eau la tête la première, je lacha mes boulets sur les côté et je mis mes bras en croix, pour les déplier pile au moment du choc. Je m'enfonçais dans l'eau à une allure folle et voyait tout les boulets me suivre. Mais un remous se fit sentir, mon corps faisaient des cinquantaine de tour par seconde sur lui même mais j’arrivai à me stabiliser au bout de quelques minutes et un léger vomis marin, je sortis enfin de l'eau. Je voyais mon oeuvre, un gigantesque tsunami d'au moins 10 mètre de hauteur et de la moitié de la longueur des côté de l'île, il allait si vite que je n'arrivais pas à le rattraper à la nage. En plongeant dans l'eau à une bonne profondeur, je voyais ce qui se passait derrière le tsunami, mais il n'y avait rien, pourtant j'avais vu cette armada de navire qui gâchait le paysage, étrange...

Après cette technique, je rentra à la nage calmement car je m'étais bien épuisé, je communiqua à mon dendenmushis de surveiller les côtes de cette partie de l'île et de vérifier l'autre moitié que l'on ne soit pas prit en tenaille. Je savais que les artilleurs sur les navires de guerre feraient du bon boulot, je leurs faisaient confiance, mais je décida aussi d'envoyer les mini bateau de combat de quadriller la mer qui entourait l'île pour filtrer cette purée de poi. Avec tout ça, la dernière menace restaient sur terre. Le temps que prendra la mise à flot des navire sera de 20 minutes sûrement, mon repos sera donc du même, il faut que je sois sur terre avant qu'ils ne soient à flot pour éviter d'être pris pour une ennemie.

Des explosions en chaîne, la cour intérieure venait de céder et la muraille ne protégeait désormais plus rien. Les hommes qui se tenaient en post avec de grosses armes à répétition tiraient sur tout ce qui bougeait. Un ordre avait surement était donné pour tel action. Le jeune Vaan n’aimait pas rester sans rien faire et les troupes devaient être dirigées par quelqu’un non ?
Il s’approcha de plus en plus du lieu de combat et fit signe à Doréème de reculer. L’armé était sur le point de lancer une grosse attaque contre les navires ennemis. Une folle hurla alors des mots complètement inintelligible qui força les hommes à se regarder mutuellement alors qu’elle, elle s’envolait tranquillement dans les airs. A l’assaut des navires adverses. Pendant l’assaut qui avait était donné, beaucoup d’homme d’Ox était entré mais il arrivait à atteindre leur cible qui les fusillait alors qu’ils tentaient de les tuer. Une fois les munitions complètement épuisées, les deux jeunes allèrent prêter mains forte au gus en tenus bleu et blanche. Les coups d’épée s’entrechoquèrent alors que les explosions diminuaient petit à petit.
Pour Vaan et Doréème, il ne s’agissait n’y plus n’y moins d’une diversion, et, le moment qui suivi celui-ci, ils sortirent tous deux de la base par la brèche créée par la bande du Phoenix. La faille fut traversée, une énorme vague commença à se dresser devant leurs yeux ébahis. Un tsunami de plus de dix mètres de hauteur s’en aller vers le groupe de navire et étrangement, la vague traversa tous les navires comme du beurre.

-Tu penses à ce que je pense Vaan ?
-Oui, ma vieille, un bon repas bien chaud après ça me fera le plus grand bien !
-‘Spece d’idiot, tu te rappelles pas mon encyclopédie des fruits du démon ? Dedans beaucoup de fruit était référencé notamment le fruit de l’illusion, celui là aurait étai mon rêve le plus chère à acquérir. Pouvoir jouer avec les formes, po... elle se fit interrompre.
-Ouais donc on pense bien à la même chose, c’est des illusions, dit-il avait un ton plein d’assurance qui cachait mal le côté maladroit de sa réplique.
-Donc il n’y a pas de ‘’centaine’’ de navires ennemi et nos informations ne sont donc pas erronées ! Ils ne sont que cinquante et les quelques gars qui était derrière sont donc à enlevé !
-Bien déduit mais je pense à autre chose.
-Quoi donc ?
-Le type qui est là-bas, c’est pas le balafré aussi appelle Scar ?!
-Oui, il se pourrait bien... il courre vers nous.
-Reste en arrière, je m’en occupe !

Le balafré, Scar, s’était approché avec une telle rapidité que cela faisait peur à voir. Il était très grand, un demi-géant pour être exact. Les cheveux blancs, la peau halée, les yeux rouges sang. Il dissimulait mal toute cette puissance qui s’écoulait en lui et possédait une cicatrice en forme de croie sur ça tête. Sans doute la raison pour laquelle il fut dénommé sous cette appellation. Il se redressa en serrant très fortement son point droit, un tatouage était magnifiquement peint sur celui-ci. Grand et sombre. Il adressa la parole aux deux jeunes devant lui.

-Vous êtes des serviteurs de la marine, on dirait que je n’ai pas le choix.

Il leva son bras et les deux compères le regardèrent.
D’un côté la mer, de l’autre la base, eux sur le sable. La suite promettait d’être intéressante.

[hrp=je post ça mais je suis pas sûr de pouvoir faire agir le balafré, si y un souscis, mp moi ! / c'Est ok cordialement Arrow]

J'étais toujours dans l'eau, me laissant porter par le courant des vagues, je rejoignais petit à petit la côte.

Soudain, mon regard qui était tourné vers le ciel, se tourna vers une lueur assez étrange au loin. Une lueur bleue qui traversait l'épais brouillard dans lequel la surface de l'eau était immergée. Je fis le lien avec l'étrange forme bleutée que j'avais percuté lors de mon vol plané. Puis je fis le lien avec ce pigeon de flamme qui s'était échappé, c'était incroyable qu'il réussisse à réunir autant de brigands en si peu de temps... mais l'énigme était que ces navires que j'avais touchés avec mon attaque, n'avait pas laissé d'épave ni de trace sur les flots... Peut être que c'était un mirage... Un phénomène incroyable dont je n'avais jamais été spectatrice auparavant en tout cas.

Soudain, j'entendis bêler des brigands proches de ma position, j'avais récupérer assez de force pour me battre contre ces troufions. Je repris donc ma nage en direction de l'île et plus précisément, en direction des hurlements bestiaux.

Je sortis de l'eau, tel un dauphin, j’atterris sur le torse de l'un des brigands qui s'était retourné de stupeur à cause du bruit que j'avais provoqué lors de ma sortie. Je lui assena un coup de pieds en plein plexus et avec le rebonds, je propulsa ma jambe en attaque ciseau, dans la mâchoire du second juste à côté. Une attaque éclair qui leurs fera voir des étoiles pour la soirée. Puis j'en récupéra un, celui qui avait encore la possibilité de parler. Je le secoua dans tout les sens pour le réveiller en lui demandant si c'était bien Ox qui était à la tête de cette armée. Mais il n'arrive pas à articuler un mot, sa respiration était très mauvaise à cause du coup que je lui avais asséner mais ça ne l’empêcha pas d'esquisser un sourire narquois au coin de ses lèvres.

Oulalah que ça m'énerve, je le pris par le cou et je lui souris à mon tour. Je le retourna face contre sol et lui releva le tee shirt. Puis, avec mon ongle, je saigna le dos du brigand pour marquer un message destiné à mes hommes, puisque il n'y avait pas de papier aux alentours, autant écrire sur la première chose qui me tombe sous la main.

Attaque réussi, mais traquenard? Vérifier le Q.G, amarrer cuirassé, tout hommes vérifie.

L'homme qui avait du mal à crier, tousser comme un malade. Puis, je le jeta vers la zone depuis laquelle j'ai été propulsée, avec ce message je pouvais me permettre de vaquer à d'autres occupation, comme cette lueur étrange du côté de la tour de guet.

Le sabre s’entrechoquait avec le corps de l’homme à la cicatrice. Des éclats de lumières écarlates venaient d’être créés à chaque nouvelle frappe. Aucune goutte de sang n’avait encore coulée, ci bien que les deux hommes étaient plus fatigué qu’autre chose. Vaan glissa sur le côté pour esquiver un bras d’épine. Hop ! Une esquive qui suivie d’un coup porté directement sur ce même bras dans l’espoir de pouvoir l’entailler. Rien. Rien du tout au tout. Le combat durait mais aucun des deux personnages ne voulait lâcher prise.

C’est au bout d’un moment que Vaan s’aperçut de quelque chose qui tournait à son avantage. La longueur de ces piques, certes très résistant, il ne dépassait pas la longueur de son avant bras et peu importe où ils sont placés, ils ne peuvent pas dépasser la main. En d’autres termes, ils ne servent presque uniquement à la défense. Vaan se le dévoila, il jeta un coup d’œil aux alentours, un roché, deux roché, puis trois, une chaîne de roché. Si il arrivait à emmener son adversaire là-bas.

Une minute plus tard, il rangea son épée dans son dos et dasha jusque là. Il contra les quelques coups de son adversaire et se lança dans son ascension du dernier espoir. Saut sur l’un, sur l’autre, de plus en plus hautement placé. 20 mètres du sol. Vaan sauta immédiatement après, descendu à toute vitesse et arqua son épée au dessus de sa tête.

- L’ULTIME PLAIE BEANTE DU LOUP !!!!!

Il est vrai que cette technique gagne énormément de puissance avec de la vitesse, mais était-ce suffisant ? De même, n’allait-il pas se rompre le cou ? N’allait-il ....
Le sabre s’approcha et frappa de toute sa puissance le métal des piques, un bruit parcourut l’ensemble de la base, laissant juste après, un calme plat.

Le bras venait d’heurter l’épée. Le bruit strident fut celui du fer cassant. Petit à petit et la chair du balafré s’ouvrit. Enfin vaincu. Et Vaan avait atterrit sur l’homme au tatouage pour amortir son atterrissage. Du haut de son dernier perchoir, Vaan avait aperçut le boss de la team et se précipita vers lui.

J'étais dans cette zone morte, où le seul bruit qui se laissait entendre était des rafales de vent. Quand soudain, un bruit strident comme si l'on aiguisait une lame tellement fort quelle se briserait sur l'aiguiseur. J'eus assez mal aux oreilles et je me suis crispais, je me retenais bien sûr pour pas avoir de vilaine rides.

Je n'étais pas vraiment stresser par les évènement qui se passait sur l'île, peut être un peu mais il n'y avait rien de grave pour l'instant. Puis, pour rivaliser avec cet affront sonore, j'eus une sorte de flash avec des souvenirs d'une technique que j'utilisais avant mon amnésie, ce son strident m'avait provoqué cette vision.

Dans mes souvenirs, je chanter mélodieusement à la manière des mythiques sirènes et beaucoup d'homme en perdait la tête et agissait comme dindon amoureux. Je m'essaya à ces chants, mais mes cordes vocales n'avait pas l'air d'avoir était entretenue depuis longtemps...

Or, j’optai donc pour un ton bien plus en dessous et pour un son beaucoup plus fort, j'hurlas :

- EEEEEEEEEEEEEEEEEEEENCUUUUUUUUUUUUULEEEEEEEEEEEEEERRRR

Je sentais ma gorge chauffer et ma mâchoire se crisper, quand je m'arrêtas j'étais soulagé.

c'est a qui là j'aimerais bien clore ce RP pour aller sur GL ou au moins up