Un fois propulser au sol il crut que sa vie en était finie, le pauvre chasseur du dimanche venait de se prendre un coup puissant de nageoire dans les bijoux de famille, par réflexe il se roula en boulle sur le coté et se retins pour ne pas gémir de douleur.
- Quel affront ! Me faire sa à moi ! Ernest V. Borg ! Comment ose tu misérable et pathétique femme poisson !Puis tout en se relevant péniblement, il sortie un pistolet de sa poche, c’était bien celui d’Helena, il lui avait volé au cas ou elle aurait eu la mauvaise idée de lui reprendre et de négocier sa libération.
- Ne t’avise plus de bouger ou même de parler, je tire à vue ! une sirène morte me rapporterait deux fois moins, mais je m’en fous adieux la belle vie j’aurais qu’à travailler plus fort !Puis tout en gardant une main assurer sur se qui n’avais pas été écraser, il se dirigea vers le fond de la grotte et ouvrit une porte secrète qu’on utilise pour simuler une fausse bibliothèque. Après le fracas de cette porte, refermer un léger cliquetis se fit entendre, il venait de verrouiller la porte.
La grotte se fessait affreusement vide, elle au mur enchainer comme une esclave, ensuite la table de bois franc avec le contenue de sa bourse rependue un peu partout, puis la petite chute naturelle avec une ouverture grosse comme un bras. Aucune chance de s’échapper, elle devrait attendre son retour, enfin c’était son résonnement à lui. Mais il avait oublié un détail, accrocher sur un petit crochet au dessus de la table un double des clés se prélassait à la lueur de la torche… en fait il s’en serait surement souvenu, mais la priorité était de mettre un nouveau sous-vêtement rempli de glaçon.
[Juste un peu plus tôt, non loin de là.]
Kong c’était réveiller dans ce drôle de bâtiment et une femme vint le voir pour lui dire que tout était correct pour lui, à part son mal de tête, il n’avait pas de grande blessure, aucune pour être plus exacte. Elle lui rendit ses biens, il n’avais pas grand-chose à part quelque coupure de journal en rapport avec des personnages de la haute démocratie, quelques billets verts communément appeler Berry et une plaque d’identification en argent avec K .O.N.G de gravé sur l’une et East Blue sur l’autre. Il en déduit qu’il devait se nommer Kong… mais enfin il aurait tout le temps de s’en souvenir, car il n’avait plus que ça à faire.
En se levant, il remarqua qu’il était couché sur trois lits miniatures, et la petite infirmière lui dit qu’il n’avait pas de plus grand lit et qu’il l’avait trainé ici par quatre fermiers du coin…
- Euh ou suis-je, enfin quelle ile ?- À vous êtes sur l’Archipel des Gekko, dans le grand hôpital. Continuez le chemin en sortant et vous trouverez le village de Syrup !- OK, merci madame.Puis il sortit en se fessant aussi petit que possible, en arrivant dans le majestueux hall d’entrée il put enfin s’étirer de tout son long, ça lui fit énormément de bien. Puis il remarqua un petit bureau non loin de lui, ou il déposa la moitié de son argent, la petite secrétaire en fut folle, car il n’avait pas l’habitude de demander de l’argent et elle lui criât après alors qu’il était déjà en route vers la sortie.
- Monsieur ! c’est gratuit vous n’avez pas à payer !Et lui sans se retourner n’ajouta simplement qu’elle pouvait garder l’argent pour elle si elle le voulait, lui il n’en avait plus rien à faire, l’autre moitié lui serait bien suffisante pour manger un bon repas à l’auberge du coin.
Une fois dans l’auberge qu’il n’avait pas mis dix minutes à trouver, il commença un porc au complet et sortit une fois de plus son argent. Le proprio en fut ravi et lui dit qu’il pouvait aller se choisir le porc embrocher qu’il voulait en arrière du bâtiment. Tout en se dirigeant, il entendit une conversation qui malgré lui le força à écouter, ça parlait d’un kidnapping et d’un fameux Ernest V. Borg, selon l’histoire il aurait été vu en bateau arrivant avec une vraie sirène endormie et il prévoyait la vendre. Selon eux il se serait ensuite dirigé avec sa proie chez lui dans la seule maison de la rive sud.
Cette histoire n’était pas nette et Kong le savait, mais c’était le coté otage qui le rendait furieux et ça sans même savoir pourquoi… il prit donc son porc en broche qu’il dévora en chemin jusqu’au repère du tortionnaire.
Manger se porc complet ne lui pris que la moitié du temps pour se rendre à la partie sud de l’ile, il trouva facilement la maison, une jolie petite maison de famille au toit de bardeaux et dont les murs n’étaient autre que des planches de bois. La maison était sur le bord du rivage accotée à ce qui semblait être un énorme roché même pour lui, un demi-géant.
Il frappa gentiment à la porte et un petit blondinet ouvrit la porte en chialant, il faillit faire dans ses pantalons, car en le voyant il tomba sur les fesses.
- Bonjour, je cherche une sirène.- Euh euh, je n’ai pas de sirène ! - Alors pourquoi vous avez le sol mouiller ?- J’ai simplement fait un peu de ménage…- Et vous n’avez eu que le temps de faire une ligne droite du village jusqu’ici c’est sa ? En plus si je me fis aux traces ça ressemble bien à un gros poisson.- Je euh suis pécheur ! - Et moi un clown tasse toi.Puis il écarta l’homme de sa grosse main et suivit la trace jusqu'à atteindre la fameuse bibliothèque. Il vit bien que la trace continuait en dessous du rangement et criât à l’intention de la sirène.
- HÉ OH YA QUELQU'UN LÀ-DEDANS ? - Tu n’aurais pas dû venir ici gros tas.Le petit homme tenait un pistolet et il le braquait sur le géant.
- si j’entends la moindre réponse venant de se mur considère toi comme mort et la ton pistolet ne te sera plus utile.